Vous et vos rêves

Personnellement, mes rêves se trouvent largement influencés par mon état d'esprit, mes angoisses et ce que j'ai vécu...et souvent d'ailleurs, j'écoute la musique qui va avec (Evanescence, WithinTemptation, Denali entre autre...)

Mais je n'ai pas encore eu l'occasion de tester cette influence de la musique sur mon sommeil. J'essaierai un jour...et je vous dirai!

Oui et tu nous diras lesquelles sont les plus radicales!!

Yeah, tu vas voir c'est folklo!

Il va falloir me donner des titres dans ce cas!

hm, alors pour revenir sur Primordial, le dernier CD (qui fait le plus d'effets d'ailleurs) c'est "To the nameless dead". Il faut l'écouter d'un bloc par contre. Après faut aimer, écoute déjà quelques titres pour te faire une idée
Sinon Anathema avec "Harmonium" "Balance" "Closer" "A natural disaster" et "Pulled under at 2000 meters a second" c'est beau aussi ..

Sinon perso Lacuna Coil je dis pas non non plus. Toi qui aime evanescence tu pourrais aimer ça, sachant qu'ils pratiquent de plus en plus un rock "commercial".

XD Lacuna Coil et son aspect commercial c'est toujours un débat marrant (sur des fofo de métal en tout cas ^^). Même si c'est sympa à l'occaz ..

Moi et mes rêves, tout un programme. Je suis comme Florence Foresti, quand je rêve de quelqu'un, je suis « amoureuse » de la personne pour la journée (bon pas si cette personne essaye de me tuer dans mon rêve non plus!).
Mes rêves peuvent parfois être douloureux. Quand je rêve que je me noie, je me réveille en suffocant. Quand je rêve qu'un requin me mord, je me réveille avec un pincement horrible dans les côtes. Quand je rêve qu'on me mitraille, je souffre vraiment de pleins de petites douleurs.
Le pire dans mes rêves, c'est ce que je ressens quand je dois me défendre, qu'il faut que j'égorge quelqu'un pour survivre. Je me sens mal, sale, comme si je l'avais vraiment fait.
Il y a aussi les rêves où je suis consciente que je suis dans un rêve et que partant de là je m'efforce à le changer par ma seule volonté (pour assouvir tous mes fantasmes hahaha...).
Je fais aussi ce qu'on appelle des « paralysies du sommeil ». C'est quand on est dans un état de semi-conscience, entre l'éveil et l'endormissement. Pour que vous compreniez mieux, je vais vous en raconter un :

Je suis dans ma chambre, dans mon lit. Je me réveille, regarde l'heure à mon réveil et soudainement je me sens oppressée. Je n'arrive pas à bouger, je suis happée par une « force » qui me scotche au lit. Paniquée je cris « Maman, maman !!! » et tape contre le mur. Je vois ma mère ouvrir la porte, me regarder et repartir en me laissant dans mon état. Je la rappelle alors, là je m'entends crier « Maman » et vois de nouveau ma mère ouvrir la porte de ma chambre. Le « rêve » se brise. Elle me dit « Qu'est-ce qu'il y a ? » comme si tout était normal. Je lui raconte que je l'ai appelé, qu'elle est venue et repartie. Et elle me dit que non, qu'elle m'a entendu crier qu'une fois et qu'elle vient juste d'arriver. Je regarde l'heure à mon réveil, et c'est bien l'heure que j'ai vu dans mon « rêve éveillé ».

Donc c'est ça, un contexte réel mais des actes irréels. Et ça se manifeste aussi en pleine nuit. J'ai plusieurs fois rêvé que cette « force » m'écrasait dans mes rêves, j'avais vraiment mal, je pouvais pas respirer, c'était comme ci on me transperçait dans le ventre. Je me suis d'ailleurs demandé si j'avais pas un problème de santé latent. Mais il paraît que c'est lié à des angoisses. Sauf que l'angoisse était devenue de m'endormir. Ça fait quelques années que j'en ai pas fait et je le souhaite à personne.

J'ai des activités psychiques débordantes ^^


Ah oui, et le pire du pire c'est quand même quand je fais un rêve si triste que je suis réveillée par mes propres larmes. Un rêve peut vraiment me mettre un sacré coup au moral et me rendre mélancolique pour un moment. J'aime pas

Concernant tes rêves de défense, j'en ai également fait un tas, et je les classe dans le même tas, malgré leurs antagonismes, que les rêves dits "paradisiaques" où tout notre idéal est réuni et condensé en quelques minutes de sommeil. Le réveil fait très très mal dans ces cas là, quand on se rend compte qu'on a été dupé. L'aspect sale se retrouve quand on commet un acte qui va contre la morale dans son rêve effectivement on se sent vraiment pas terrible, j'en ai fait souvent.
En revanche ta dernière évocation est inédite pour moi. Si j'ai déjà fait énormément de rêve de "déjà-vu", je n'ai jamais rencontré le genre de rêve suffocant que tu as fait, c'est inédit. Etonnant je dirai même!

C'est inédit et pas rassurant quand ça t'arrive crois-moi !
Voici un article qui détaille bien le phénomène :
http://www.mmt-fr.org/article107.html

Hé dis donc je connaissais pas et c'est pas rassurant effectivement...On en apprends tous les jours!

Ouais c'est pas l'expérience la plus agréable qui soit je confirme. La première fois on se demande vraiment ce qui se passe. Mais comme j'avais déjà eu des crises d'angoisse/panique et spasmo, j'ai pas mis longtemps a comprendre que c'était un trouble anxieux. Heureusement ça fait un moment que j'en ai pas fait.

La paralysie du sommeil, ça m'arrive assez fréquemment. C'est vrai que c'est assez effrayant quand on ne sait pas ce qui passe.
Généralement, j'ai souvent conscience d'être en train de rêver quand je suis dans un rêve, mais j'arrive pas vraiment à changer ce qui se passe (on dirait même que plus j'ai envie que quelque chose se passe, moins il y a de chances que ça arrive. En revanche, plus j'ai peur que quelque chose se produise, plus il y a de chances que ça arrive. )

Et bah... Spécial quand même. Moi aussi y'a un truc que je trouve effrayant quand je dors... En fait je dors tellement profondément qu'un tremblement de terre ne me réveillerai pas et j'ai toujours eu la phobie que si y'a le feu chez moi je ne me réveille pas. Flippant^^

Je pense que l'odeur te réveillerait quand même. Au pire lorsqu'une flamme te chatouille le pied tu sais que tu peux te carapater!!

Maigre consolation^^ En fait je crois que j'ai été traumatisée parce que lorsque j'avais 4 ou 5 ans, y'avait un fil qui trainait sur le radiateur, il a cramé, y'a le système d'incendie qui c'est mis à sonner super fort juste au dessus de ma tête et je ne l'ai su que le lendemain ^^

Ah ouais, c'est sûr que pour le coup avoir un sommeil de plomb n'est pas enviable.

Il me semblait qu'il y avait un topic pour raconter ses rêves ? J'ai retrouvé celui-ci, j'en déduis que c'est là...

Bon, tout d'abord, il faut savoir que je fais très souvent des rêves assez longs, et totalement farfelus. J'ai pris l'habitude de les raconter sur l'autre forum où je suis alors, après tout, pourquoi pas ici ?

Par exemple, mon rêve d'avant-hier :



Le héros était un personnage non identifié, qui au début du rêve se baladait près d'une fontaine où il y avait une démonstration d'art contemporain, et il se disait que c'était vraiment moche et ne voyait pas en quoi c'était de l'art. Bref, son truc à lui, c'était de voyager dans le futur. Pour cela, il devait monter sur un cheval, mais en fait, quelqu'un lui disait que c'était mieux de grimper sur le dos d'un chien. Un petit toutou blanc frisé jappait avec enthousiasme autour de lui, mais le voyageur temporel se disait que ce serait vraiment pas pratique, parce que le chien allait courir vite et que comme le toutou était petit, ses jambes à lui allaient trainer par terre alors ce serait pas commode. Il se rabattait donc sur un cheval, mais tout ce qui était disponible était une statue de cheval en bronze, un peu comme un cheval à bascule.

Qu'importe, il grimpait dessus, et il dévallait la petite route qu'il y a devant ma maison des Pyrénées. Il arrivait au petit pont bordé de prairies où mène la route, et je me disais que ce voyage temporel c'était vraiment dingue, parce que cet endroit était à la fois le petit pont, et à la fois le futur : en effet, c'est très difficile à décrire, mais le paysage se superposait à un autre paysage, si bien qu'il y avait un sofa rouge en plein milieu du chemin, et que le côté, qui donne sur la rivière et la forêt, était en même temps une baie vitrée d'où on pouvait admirer un panorama d'une grande ville futuriste. (C'est vraiment difficile à décrire)

Une femme en tenue du XIXe siècle arrivait alors, et elle savait parfaitement qui était le voyageur temporel. Elle lui proposait de boire quelque chose : il y avait trois places sur le sofa, avec un verre en carton plein de thé pour chaque place. L'un était du thé à la bergamotte, l'autre, du thé à je sais plus quelle épice, et le troisième du thé au chocolat. Mais, expliquait-elle, celui-là il ne fallait pas le prendre, parce qu'il était pour le chien, qui raffollait du thé au chocolat. Et effectivement, le petit toutou de tout à l'heure était là, à gambader joyeusement.

Mais à vrai dire, le voyageur du temps était plutôt subjugué par la vue sur la ville du futur. Il demandait à la femme si elle accepterait de poser avec lui sur une photo : il avait apporté un vieil appareil photo. Elle acceptait, et il se mettait alors à prendre la pause, seulement il avait un sourire figé et ne bougeait plus. Comme elle était surprise, il lui expliquait que son appareil avait un temps de pause très long, si bien qu'il fallait rester sans bouger 5 minutes entières pour que votre image s'imprime sur la plaque. La femme - qui était vraiment survoltée et allait très vite - lui répondait que non non, c'était beaucoup trop long, alors elle allait chercher un polaroïd et en deux temps trois mouvements, prenait plein de photos. Elle les lui tendait, et en prenait d'autres en mode "numérique", et je me demandais comment il pourrait les lire une fois revenu à son époque : au XIXe siècle...

A ce stade du rêve, arrivaient plusieurs messieurs en redingote qui posaient eux aussi sur les photos et se montraient très amicaux. Le voyageur temporel voulait poser plein de questions, mais la dame lui fourguait des plaquettes explicatives et des guides touristiques de leur époque dans les poches, et lui disait : "pas le temps, pas le temps ! Une minute passée ici équivait à beaucoup plus longtemps chez vous ! Depuis que vous êtes arrivé, il s'est déjà écoulé une journée, là-bas !". Il s'étonnait et demandait pourquoi, alors je réfléchissais en me disant qu'il fallait trouver une explication crédible, et la femme lui répondait : "quand on prend des minutes à la Terre quelque part, il faut lui lui en rendre d'une autre façon !".
L'homme était satisfait et repartait chez lui, je crois à dos de chien.

Mais quand il arrivait, c'était le bran-le-bas de combat (ouh là, je sais plus écrire ce mot) : les gens étaient en costume du XVIIIe siècle (un peu comme sur la couverture de mon édition des Liaisons Dangereuses), et en fait c'était la Révolution. Et en fait, le voyageur du temps devait retrouvé le fiancé de la dame du futur, qui s'appelait Charles, pour lui dire qu'il fallait qu'il aille lui porter secours, à elle - allez savoir pourquoi. A partir de là c'est plus flou, mais je sais qu'à un moment, Charles avait la femme évanouïe dans les bras et elle s'appelait Charlotte, sauf que je me disais que Charles/Charlotte ça le faisait pas question coïncidences, alors il fallait que je lui trouve un autre nom...


Moralité : j'ai trop lu La Machine à Explorer le temps avant de dormir !

^^ enorme je ne sais pas comment tu fais pour te souvenir de tant de details ! On dit que l on se souvient du reve que l on realise dans les secondes avant de se reveille du coup ton cerveau tourne a bloque ^^

En tout cas je trouve toujours que les reves sont source d inspi. Si tu prends l exemple des minutes volees d un monde a l'autre c'est pas mal pour un debut

Moi ce qui m'étonne c'est que ton rêve soit si "clair". Dans les miens, ça passe tellement d'une scène à une autre avec des trucs tellement incongrus qu'il est impossible de pouvoir en faire le récit sans passer pour une folle ^^
Et c'est vrai que pour l'inspiration c'est pas mal, j'ai beaucoup de rêves qui sont sources d'inspiration parce qu'au réveil on se sent "investi" de l'histoire et puis au final ça donne rien parce que comme ça part d'un rêve, c'est dur de donner une logique par la suite, de rendre l'idée vraisemblable.
Je ne connais pas la signification de ton rêve (à part comme tu le dis que tu as trop lu La machine à explorer le temps) mais le fait est que tu es passive dedans, plutôt spectatrice qu'actrice. On dit généralement que ça dénote d'un manque d'emprise sur sa propre vie.

Rien qu'avec tout ça, t'as moyen d'avoir un sacré pitch pour un texte mine de rien! Cela dit, c'est quand même impressionnant de se rappeler d'autant de détails comme dit Azarian.

Pour les détails, ça se travaille, je pense. Comment dire ? C'est un peu comme d'apprendre à apprendre : si on n'a pas l'habitude d'apprendre par coeur, apprendre 30 pages de cours d'un coup, c'est pas possible. Mais si on a exercé sa mémoire à ce fonctionnement, ça devient plus faisable.
Pour me rappeler de mes rêves, c'est pareil. Au début, j'y arrivais pas non plus. Et puis, petit à petit, je me suis mise à me les rappeler, de mieux en mieux, et maintenant, j'en fais parfois des très logns dont je me rappelle en détails. J'ai pas vraiment fait exprès, mais je constate, en lisant mon fichier Word où se trouvent mes rêves, qu'ils sont, en moyenne, de plus en plus long, ce qui dénote que, petit à petit, j'arrive de mieux en mieux à me les rappeler.
Ma technique c'est de me les "reraconter". Quand je commence à me souvenir, je me force à repasser tout le rêve en le décrivant, en mettant des mots dessus. Du coup, ça établit sans doute parfois des liens logiques là où il n'y en a pas, ou là où ils sont moins nets, et ça "fige" certains trucs qui sont propres au rêve (comme là, les deux endroits qui se superposaient, c'est vraiment indescriptible, même si, maintenant que j'ai raconté qu'ils se superposaient visuellement, la subtilité du rêve tend petit à petit à s'estomper de ma mémoire...). Mais d'un autre côté, ça permet de retenir le rêve. Quand on se rappelle d'un bout, tout le reste suit...
C'est ce qui peut répondre à

pomme a écrit:

Moi ce qui m'étonne c'est que ton rêve soit si "clair". Dans les miens, ça passe tellement d'une scène à une autre avec des trucs tellement incongrus qu'il est impossible de pouvoir en faire le récit sans passer pour une folle ^^

Il y a aussi que je ne note que les rêves qui valent le coup parce qu'ils sont suffisemment rigolos (rêver que l'heure tourne et que j'arrive pas à finir ma dissert, ça m'est arrivé souvent, mais je les raconte pas, lol), et que ceux dont je me rappelle.

Bref, à mon avis, c'est juste une technique de mémorisation.

Il y a même des gens qui arrivent à faire volontairement des rêves conscients ! ça, j'ai essayé, mais j'y arrive pas ^^ J'ai fait une série de rêves semi-conscients, mais c'était pas provoqué volontairement !

pomme a écrit:

Je ne connais pas la signification de ton rêve (à part comme tu le dis que tu as trop lu La machine à explorer le temps) mais le fait est que tu es passive dedans, plutôt spectatrice qu'actrice. On dit généralement que ça dénote d'un manque d'emprise sur sa propre vie.

Oui, c'est possible, pour le manque d'emprise !
Après, j'avoue que je me méfie souvent des interprétations des rêves (même si là, ça semble très possible), parce que c'est vraiment personnel. Dans mon cas, ça traduit souvent juste le fait que j'aie pensé à ceci ou cela dans la journée ; et ceci ou cela étant généralement un film, une série ou un livre, une partie du scénario ou de l'ambiance va venir se greffer à mon rêve... (d'où sans doute le fait qu'ils soient si farfelus : c'est du semi-plagiat onirique ! MDR). Le plus beau méli-mélo étant un rêve d'y a quelques années mélangeant mon lycée de prépa, Dark Vador, Harry Potter, Hermione, et les soeurs Halliwell xD Quoi que, après avoir révisé l'histoire jusqu'à 1h du matin cette année, j'ai fait un rêve pot-pourri de tout ce que j'avais lu, avec un scénario genre club des cinq... C'était assez dingue, mais je vais pas le poster dans ce message parce qu'il est déjà suffisemment long ! Dans le suivant, peut-être ! ^^

D'un autre côté, il m'arrive souvent (un peu comme dans ce rêve-ci, sauf que c'est parfois bien plus fort) de rêver que j'invente le rêve. Comment dire ? Un peu comme là, quand c'est moi qui réfléchissais à ce que la femme allait répondre : je ne suis pas dans le rêve, mais j'ai la même posture que quand j'invente une histoire ou quand j'écris : je ne suis pas là, mais je tire les ficelles. Même si, dans le rêve, c'est une illusion...
ça vous le fait pas, à vous ? A mon avis, ça doit arriver à tous ceux qui écrivent...

Il m'est même arrivé de rêvais que je lisais. Et là aussi c'est un peu indescriptible : à la fois je voyais les images du rêve, et à la fois je voyais les mots qui le décrivaient, et le rêve était composé de phrases, tout à la fois qu'il l'était d'images et de sensations. Comme quand on lit, quoi...


Bref, dans mon rêve d'hier par exemple, il y a beaucoup de flou, et j'ai beau le raconter, toute la fin m'échappe, et tout le raisonnement qui me semblait logique m'échappe aussi (à mon avis, il l'était pas du tout d'ailleurs xD) :





Au début j'étais dans mon appartement, je me levais dans la nuit pour aller au toilette. En passant devant la chambre de ma mémé, je voyais qu'elle était réveillée, assise à son fauteuil, la lumière allumée. J'arrive au toilette, et je croise ma mémé sur le point d'y entrer. Surprise, je retourne devant sa chambre : elle y est aussi. J'ai ma mémé en double.

Je me plante alors devant la porte des toilettes, et je me dis (très zen) : "oh, ok, je dois être dans un rêve". Alors pour me réveiller, j'essaye de crier, mais rien ne change. Bon, tant pis, c'est pas grave.

Je pars chercher ma mère pour lui dire que ma mémé est en double, et on s'installe dans la chambre de ma grand-mère. Je dois alors mettre ses bas à ma mémé (ce que je fais souvent, en vrai), sauf que là, pas moyen, parce qu'elle a trois pieds. Ce qui n'est pas du tout commode.

Agacée, je me lève alors et commente à ma mère qu'on est prises dans une distorsion temporelle et que ça risque de devenir dangereux. En effet, je commence à avoir mal aux dents, il peu comme si une sorte de pression les poussait les unes contre les autres. Me viennent à l'esprit des images peu engageantes de ma mâchoire disloquée par une distorsion temporelle.

Ma mère et moi nous approchons donc du hublot - mon apparement est apparemment en même temps un vaisseau spatial. La navette qu'on a envoyée il y a quelques temps est dans une nébuleuse, qui ressemble furieusement à mon fond d'écran. Ma mère et moi comprenons que la navette s'est approchée très près du noyau d'une distorsion temporelle, et que l'espace-temps s'est pour ainsi dire replié sur lui-même, ce qui explique que les choses soient en plusieurs exemplaires.

Et là je me rappelle pas vraiment de la suite, si ce n'est que je crois qu'on devait revenir en arrière dans le temps pour éloigner la navette de la distorsion... Mais je crois qu'en fait, le rêve devenait totalement incohérent.

Citation :

Après, j'avoue que je me méfie souvent des interprétations des rêves..

Je me méfie aussi de l'interprétation en détail des rêves, mais les aspects généraux peuvent être révélateurs comme dans ce cas, à savoir où on se positionne dans le rêve (on agit, on subit, on observe, on dirige ?). C'est surtout les émotions ressenties je pense qui compte, en tout cas moi quand je rêve que je suis en colère ou triste et que je suis réveillée par mes propres pleurs, il est rare que ça corresponde à un moment serein de ma vie. C'est les nerfs qui évacuent quand le "conscient" s'endort. Il y a toujours quelque chose d'inconscient, le rêve ce n'est pas la création d'un monde, c'est l'expression de notre monde intérieur, des émotions que l'on garde en soi, nos envies, nos aspirations. D'ailleurs dans ton rêve, ça sonne un peu épopée, ça peut être une envie d'aventure, ou bien encore l'envie de comprendre, un choix à faire, le besoin de savoir ce que te réserve l'avenir etc. (et là on ne peut pas vraiment interpréter, seul le rêveur est capable de savoir ce qui est pertinent dans son rêve par rapport à sa propre existence).

Citation :

D'un autre côté, il m'arrive souvent (un peu comme dans ce rêve-ci, sauf que c'est parfois bien plus fort) de rêver que j'invente le rêve.

C'est pas un rêve que tu inventes parce que tu sais que tu es dans un rêve ? Un rêve lucide donc ? Moi aussi ça m'arrive, enfin plus trop maintenant mais quand j'étais plus jeune oui.

Dîtes, question qui n'a rien à voir : quelqu'un a-t-il déjà rêvé en langue étrangère ? Parce qu'il m'arrive de rêver en anglais et dedans j'ai l'impression d'employer des mots que je ne connais pas en réalité, de le parler et le comprendre mieux, un peu comme après un ou deux verres d'alcool

Eh bah ! Je suis bluffé également ! J'ai tous les maux du monde à me souvenir de mes rêves. Cela dit, je ne fais pas non plus l'effort de vouloir m'en souvenir... Cependant, en lisant tes rêves, Milora, je me dis que je ferais bien de me forcer car, en effet, c'est une source inépuisable d'inspiration !

Siel

Citation :

C'est pas un rêve que tu inventes parce que tu sais que tu es dans un rêve ? Un rêve lucide donc ? Moi aussi ça m'arrive, enfin plus trop maintenant mais quand j'étais plus jeune oui.

Non non : les rêves lucides - ou conscients - c'est ce dont je parlais plus haut. C'est quand on est conscient d'être dans un rêve et que, du coup, on en prend les commandes. ça m'est arrivé d'en faire, mais partiellement : je n'étais consciente que pendant un moment du rêve, ou alors, j'étais consciente de rêver, mais je n'avais pas des comportements très logiques pour autant. L'article Wikipedia est super bien, pour ça (lien direct ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%AAve_lucide)
(Une fois aussi, j'ai rêvé que je marchais dans le métro, et je prenais un couloir tout sombre ; alors je me disais : oh, non, pas par là, où ça va tourner au cauchemar xD Et je partais dans l'autre sens ^^ Bref, là encore c'était juste semi-lucide).

Oui donc, non, ce dont je parlais, c'était juste une posture dans le rêve. L'illusion de commander à l'histoire, l'illustion d'être dans la même position que quand on écrit (parfois, je crois même choisir les mots pour les mettre sur le rêve). ça ne vous le fait jamais ?

Citation :

Dîtes, question qui n'a rien à voir : quelqu'un a-t-il déjà rêvé en langue étrangère ? Parce qu'il m'arrive de rêver en anglais et dedans j'ai l'impression d'employer des mots que je ne connais pas en réalité, de le parler et le comprendre mieux, un peu comme après un ou deux verres d'alcool

SI ! Enfin, je bois pas d'alcool, donc je peux pas comparer, lol. Mais ça m'arrive, me semble-t-il, de rêver en espagnol (je parle espagnol,mais je ne suis pas totalement bilingue, alors que dans mes rêves j'ai une élocution beaucoup plus fluide - peut-être comme si j'arrivais à prononcer les mots étrangers à la vitesse où je les pense) et une fois ou deux, j'ai rêvé que je parlais anglais. Mais là, il me semble que mon vocabulaire était nettement plus limité En tous cas, je me suis toujours demandé si c'était juste une illusion, ou si le rêve se déroulait vraiment dans une autre langue...

Citation :

Cependant, en lisant tes rêves, Milora, je me dis que je ferais bien de me forcer car, en effet, c'est une source inépuisable d'inspiration !

Lol ! J'ai essayé d'écrire une nouvelle à partir d'un de mes rêves, mais je ne l'ai pas terminée. Moins d'enthousiasme que pour une histoire consciemment inventée.
En plus, dans mon cas, les scénarios sont souvent transposés d'un truc que j'ai lu ou vu, donc c'est moyen pour une histoire. Et puis y a la plupart du temps des passages flous/illogiques/qui changent radicalement le rêve sans qu'on puisse y mettre un lien logique... Mais c'est une idée !


Comme cette nuit j'ai fait un rêve stupidement banal (je devais prendre mon poste de prof et j'arrivais pas à me faire obéir de mes élèves...), j'avais juste envie de vous copier-coller l'un des rêves les plus farfelus/développés que j'aie faits. C'était le 16 mai :

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Quand Milora lit un manuel d'histoire médiévale jusqu'à 1h du matin, et que pendant qu'elle dort, ses petits voisins mettent à plein tube un CD de comptines pour enfants, ça produit...?
Un rêve farfelu façon "Le Club des Cinq dans le programme d'agreg".


Je ne vois pas trop le rapport entre le début du rêve et la suite, mais ça commençait dans un magasin d'informatique. J'étais avec ma mère, et il y avait des jeux vidéos en démonstration, notamment la toute dernière console à la mode. Elle se présentait comme un fauteuil, avec deux emplacements pour les pieds, et un casque (un peu comme les écouteurs avec micros, sauf que ça plaçait un truc devant les yeux). En fait, ça recréait le décor du jeu en 3D autour de vous, mais ça faisait très bizarre parce que ça se superposait à la réalité (au lieu de vous plonger au coeur du jeu). Bref, j'essayais mais j'aimais pas du tout, parce que le jeu consister à sauter de rocher en rocher au-dessus d'un précipice, et que ça me filait le vertige. Après avoir croisé un petit garçon qui jouait avec une wii-fit...
... Je ne sais plus du tout ce qui se passait, mais il y avait une continuité avec la scène suivante :
Je n'étais pas moi. J'étais poursuivie par une troupe de méchants, qui m'avaient acculée dans une maison. 2 méchants étaient entrés pour me tuer/capturer, mais dans la bagarre, il y avait eu un mort parmi leurs rangs. Le deuxième retournait subitement sa veste, et décidait de m'aider.
Il m'expliquait que son collègue allait débarquer : c'était un policier méchant, qui allait m'accuser du meurtre et ce serait le prétexte pour m'embarquer chez les méchants. Il me proposait donc de fuir tandis qu'il le retiendrait, et je ne me le faisais pas dire deux fois.
Pour partir, je devais traverser tout un tas de couloirs avec des portes fermées à clefs (les clefs étaient sur la serrure à chaque fois), et ce... plusieurs fois. J'entendais, dans l'autre pièce, mon nouvel allié expliquer au méchant policier que j'avais filé par derrière ; et je me demandais à quel point il essayait de m'aider, vu que j'étais effectivement en train de filer par derrière ! Je devais sortir de là absolument avant qu'ils me voient : comme j'étais déguisée, s'ils me croisaient dans la rue ils ne me reconnaîtraient pas, mais s'ils me voyaient sortir de la maison, ils me prendraient en chasse...
In extremis, je sortais de la maison, et je me retrouvais dans une rue qui mélangeait la rue de l'ancienne librairie de ma mère, et celle qui passe derrière chez moi. Je commençais à marcher d'un air dégagé : j'étais déguisée en moine, et avec mon capuchon je ne risquais rien. D'ailleurs, les deux méchants passaient à côté de moi sans me voir...
Mais soudain, je baissais les yeux sur mes vêtements, et j'étais saisie de panique : ma bure était marron ! Alors qu'au Moyen Âge, les bénédictins avaient une bure blanche ! [size=6pt](même pas en plus, c'était les dominicains... )[/size] Pourvu que personne ne le remarque... Je continuais de marcher, et passais devant les deux méchants qui s'étaient arrêtés devant la pharmacie qui fait angle. Je ne sais pas pourquoi, je me mettais à marcher trèèès lentement, pour qu'ils ne me demandent pas leur chemin. Parce que si je parlais, ils verraient que je n'avais pas une voix d'homme ; ils pourraient me prendre pour un jeune garçon, mais si je rabattais mon capuchon, ils remarqueraient mes cheveux longs...
Une chance, ils ne me remarquaient pas, et je traversais la rue vers une forêt qui était un monastère, où se trouvaient mes alliés.
Je passais le long d'un petit sentier entre les buissons, et j'arrivais à une clairière (NB. Mon manuel d'hier parlait des défrichements du Moyen-Âge ^^). Sur un banc, une bonne soeur était assise à côté d'un petit gamin habillé en novice. Je leurs demandais l'asile, qu'ils m'accordaient tout de suite.
Je me souviens que je me chamaillais avec le gamin, un peu comme les dispute de cour d'école. Il me sortait un truc du genre : "T'es qu'une gamine, moi j'ai 14 ans !", et je lui répliquais : "Gnééé, petite morveux, moi j'en ai 16 !". (débile, je sais )
Après ça, je commençais à m'intégrer au monastère. J'étais avec d'autres enfants qui comme moi étaient poursuivis par les méchants qui avaient pris le pouvoir. J'avais notamment sympathisé avec ce gamin, et une fille qui était là depuis longtemps, et était un peu plus âgée que nous mais indisciplinée.
Alors que nous marchions le long d'un couloir, elle ouvrait une porte latérale et avait soudain l'air stupéfait.
Petit flou, et j'allais les chercher - elle et le garçon - au bureau du directeur, parce qu'ils avaient été punis. Elle avait dit un gros mot devant la mère supérieure (qui ressemblait plus à une institutrice des années 50 ^^), et se faisait passer un savon. Je me demandais pourquoi elle n'avait pas tenu sa langue, alors que nous étions en danger et qu'il fallait éviter de nous faire repérer. Soudain, le directeur me mettait mal à l'aise. Je commençais à avoir des doutes sur lui. Il fallait tout de suite que je libère mes amis. Mon téléphone sonnait, et je prétextais que c'était sans doute ma supérieure au couvent - pour qu'il ne sache pas que je n'étais pas un vrai novice, et avec l'idée de faire passer un appel au secours à demis mots - sauf que mon téléphone me disait que c'était L., une amie du lycée qui en vrai passe facilement 45 minutes au téléphone quand elle m'appelle. Je décrochais alors et, d'une voix blanche, lui disais : "Je vous rappelle tout à l'heure", en espérant qu'elle comprendrait. Mais visiblement pas.
Je demandais à rester mes amis, mais on me disait que comme j'étais pas punie, je devais partir. Soudain, je comprenais pourquoi la fille avait dit un gros mot. Je devais les rejoindre. Alors je me plantais devant la mère supérieure et je m'écriais : "B***** de mer** !" (le truc que je dis jamais en vrai xD). Sous la surprise, elle me filait une gifle, puis me conduisait avec mes 2 amis en punition.
J'obtenais alors confirmation auprès de la fille : le directeur était un méchant. Si nous étions sorties du couvent, il nous aurait capturés, et la seule solution était de nous faire punir par la mère supérieure pour rester sous sa protection.
Là, petit flou. Je ne sais pas comment, nous nous échappions, et nous retrouvions... en Inde. [size=7pt](mon programme d'histoire contemporaine)[/size]
Nous nous embarquions à bord d'un navire, mais je me rappelais qu'au Moyen-Âge, ils ne faisaient que du cabotage, alors, sur une carte, je voyais le petit bateau naviguer le long de la côte...
Nous étions plein d'enfants, et les marins nous avaient pris sous leur aile. En fait, ça faisait un peu ambiance idyllique au pays de Peter Pan xD
A un moment, nous remontions vers le Nord (au niveau du Japon, sauf qu'à l'Est, à la place des Etats-Unis, c'était à nouveau l'Inde). Il fallait passer un détroit tellement étroit qu'il n'y avait quasiment pas d'eau, le sable était à la surface. Un seul marin était capable de cet exploit. Pour cela, il attrapait des coquillages qui s'appelaient des "mains", et il poussait le sable avec ses pieds.
Je m'écriais alors : "Ah, mais ce doit être pour ça qu'on dit "faire des pieds et des mains !"" Il me répondait qu'en effet, il n'avait jamais fait le rapprochement, et nous arrivions au niveau de la Russie, sauf qu'il y avait à la place une mer avec plein d'îles et un climat caribéen.
C'est alors que quelqu'un, sur un bateau voisin, se disputait avec les enfants à bord. Les marins en concluaient tristement une chose : ils avaient fait ce qu'ils avaient pu, nous avaient pris sous leur aile et nous avaient sincèrement aimés, mais il nous manquerait toujours quelque chose : nos parents. Il fallait qu'on rentre chez nous pour les retrouver.
Sauf qu'on était toujours recherchés.
Il fallait créer une diversion.
Pour cela, les marins grimpaient sur une sorte de muret qui ressemblait en même temps à un podium lumineux, et qu'ils avaient recouvert de pourdre à canon. Ils menaçaient de se faire sauter si les autorités n'accédaient pas à leurs revendications. Horrifiés, nous les enfants les regardions en nous demandant jusqu'où ils pourraient aller, mais un militaire tirait dans leur direction. Ça ricochait sur le muret-podium, ce qui créait une immence gerbe d'étincelles, et nous permettait de prendre nos jambes à notre cou sans nous faire repérer.
Nous traversions alors toute l'Europe de l'Est en courant, en une journée. ( ).
Mais, à ce stade-là, je réalisais que nous étions les personnages d'un roman écrit dans les années 50, et que donc, les méchants étaient les nazis, et que la France était occupée ! Nous allions nous retrouver sous Vichy.
Petit flou. Nous étions... quelque part dans la moitié Sud de la France. Nous n'étions plus que 3 enfants d'ailleurs (ceux du début), et - très intelligent - nous nous séparions. Je décidais de retourner au monastère pour voir ce que c'était devenu en notre absence. Et ça grouillait de nazis.
Une chance, ils ne me reconnaissaient pas, parce qu'au lieu de mon habit de moine, je portais une sorte de robe façon époque de Louis XIV. D'ailleurs, ils me traitaient tous non comme une fillette mais comme une jeune femme, et je comptais sur les doigts : si j'avais été en Asie 3 ans, c'est donc que j'avais 19 ans. Ils ne me reconnaîtraient pas, mais je devais retrouver mes camarades pour les prévenir du danger...
Mais je devais vraiment aller chez l'ophtalmo.
Nouveau flou. La situation avait un peu changé : j'étais revenue seule d'Inde, et je devais retrouver mes 3 amis que j'avais abandonnés en France quand j'avais été forcée de fuir du monastère (vous suivez ?).
Je passais chez l'ophtalmo, mais elle (c'était une dame) me disait que je devais absolument prendre rendez-vous pour me faire des lunettes. J'étais un peu nerveuse parce qu'il était vital que je retrouve mes amis. Sauf que je me faisais rabrouer par la secrétaire médicale quand je demandais un rendez-vous, et elle me désignait une série de sièges en plastiques, où je devais attendre mon tour (Pourtant, il n'y avait personne d'autre dans la pièce).
Je sortais alors mon portable, qui - bien qu'éteint - m'indiquait que j'avais des nouveaux messages sur mon répondeur. Forcément : j'avais été absente 3 ans... Or, ils venaient de mes 3 amis, qui n'étaient autres que S. (une amie de prépa), Ambrena et Krapoutchniek (d'un autre forum) !
Le premier message était de S. et datait de 2005 : mes 3 amis étaient inquiets pour moi et n'arrivaient pas à me retrouver. Le deuxième message était d'Ambrena : elle me disait qu'ils avaient découvert que j'étais en Inde, et qu'ils allaient prendre un billet de bateau pour me rejoindre, mais seulement si le billet était à moins de 153€. J'étais un peu embêtée, parce que je savais que le billet pour 3 personnes était plus cher que ça. De toute façon, le message datait de 2007. Je me souvenais soudain que Krap m'avait appelé lorsque j'étais chez le directeur du monastère (l'appel était de lui au lieu de L.), et je lui avais dit que je le rappelais, sauf que je n'avais jamais pu le faire, avec toutes ces aventures ! Ils avaient dû s'inquiéter...
Alors, mon téléphone sonnait.
C'était une employée des impôts, qui me demandait si je savais où localiser M. Krapoutchniek. Je lui répondais que non. Elle me disait qu'ils avaient remarqué quelque chose de louche : depuis 3 ans, il n'avait effectué que des stages non rémunérés. En mon for intérieur, je me disais que c'était normal : ils avaient dû vivre dans la clandestinité puisque les méchants étaient au pouvoir. Il était hors de question que j'aide les autorités à leur mettre la main dessus, bien sûr.
Alors je répondais à la dame que j'étais en Inde tout ce temps, et elle me demandais si je savais parler un dialecte de là-bas (je sais pas lequel. Urdu ou hindi, peut-être). Je lui répondais que oui, alors elle me demandait de dire une phrase dans cette langue, et me suggérait que je pourrais l'enseigner ici. Alors, dans ce dialecte, je lui disais : "Je ne crois pas que les Romuliens apprécient un tel cadeau". [size=6pt](Il faut savoir que les Romuliens sont les méchants dans Star Trek) [/size] Parce qu'évidemment, c'étaient les Romuliens qui avaient pris le pouvoir et qui occupaient la France...

Je ne sais pas s'il y a une fin. Désolée, c'était vraiment long, mais je m'en rappelle assez nettement, et je l'ai trouvé plutôt... mouvementé, comme rêve xD (enfin, c'est si long que sans doute personne ne va le lire ^^)[quote]