Résumé : Viré du L.A. Times, le journaliste Jack McEvoy hésite entre le dégoût et la rage. Mais c’est la fierté qui finalement l’emporte : avant de partir, il va écrire l'article de sa vie. Et les pontes de la direction n’auront plus que leurs yeux pour pleurer.
À priori l’histoire d’Alonzo Winslow, un dealer meurtrier de 16 ans, n’a rien de prometteur : le gamin a avoué. Mais d'autres meurtres, bien antérieurs, semblent prouver le contraire.
Embarqué dans une aventure qui le dépasse, Jack lance un S.O.S. à Rachel Walling, l’agent du FBI qu’il aime depuis toujours. Sans se douter que dans le même mouvement, il enclenche le piège machiavélique tendu par un tueur d’une intelligence et d’une cruauté ahurissantes.
Mon avis :
Evidemment, de Connelly, j'ai surement commencé par le meilleur avec le Poète.
J'en avais fortement apprécié l'histoire et les personnages (sans compter le scénario et la façon dont il était posé...)
Donc, revenir à du Connelly et comparer, pas simple...
L'épouvantail demeure un bon policier, pas aussi surprenant que le Poète mais efficace malgré tout.
On se laisse embarquer, on retrouve - moi en tout cas !
- avec plaisir les personnages du Poète avec des traits d'union agréables, qui nous rappellent les bons souvenirs du premier tueur.
L'épouvantail est machiavélique ? Hum... oui... pas autant que le Poète (pauvre Épouvantail ! toujours comparé... et il en pâtit !
)
Bref, un bon moment de lecture !
Mais, vous l'avez compris, si vous souhaitez vous lancer dans l'affaire Connelly, bah... choisissez... l'autre quoi !
Siel