j'ai fiat ce petit poème, j'espère que vous l'aimerez bien. (soyez indulgent)
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
Grand, jeune et extraverti,
C’est ainsi qu’on le définit.
Jolord, qu’il s’appelait,
Et rien n’indique qu’il fut mauvais.
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
Dans son vieux château délabré,
Toutes ses journées il passait,
Et, le soir venu,
Il descendait dans les rues.
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
Un soir, lors de sa ballade habituelle,
Il s’égara dans une ruelle.
Au fond de celle-ci
Se trouvait la jolie Marie.
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
Dès son arrivée,
La suite il connaissait,
Car bien qu’il soit très beau,
Jolord avait ses défauts.
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
Ils discutèrent longtemps,
Savourant ce moment.
Quand elle voulu partir,
Il fit tout pour la retenir.
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
Bien que réticente, elle accepta,
Intrigué, sans savoir pourquoi,
Par cet être unique, singulier,
A coté de qui elle passait sa soirée.
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
Finalement, le temps passa,
Et pour la nuit elle resta,
Par courtoisie, à sa chambre il l'emmena,
Et c'est sur le trajet que cela ce passa.
Oyez ! Oyez ! Ecoutez brave gens,
L’histoire d’un homme d’il y a mille ans.
A ce moment,
En un instant,
Elle vit la mort,
Et abandonna sans remord,
A ce monstre son corps,
Qui dans sa gorge planta ses dents.
Oyez ! Oyez ! C'était brave gens,
L’histoire d’un monstre d’il y a mille ans.